Témoignages d’adhérents

Découvrez la richesse de la Mutuelle Saint-Martin : ses adhérents.

Témoignages

Ils sont adhérents à la Mutuelle Saint-Martin, ils témoignent

“L’avantage d’une communauté, c’est qu’il y a toujours quelqu’un qui sait débrouiller les choses compliquées. En CSS avec sur-complémentaire, mon audioprothésiste (je souffre d’une réelle surdité et j’ai en charge l’accueil du monastère) ne savait plus à quelle instance adresser le devis de mon renouvellement de prothèse. Comme il ne s’adressait pas aux bons interlocuteurs, il n’avait pas de réponse et mon dossier a traîné longtemps. J’en ai parlé à notre « responsable de contrat » et tout s’est trouvé débloqué en quelques jours. C’est vraiment pratique d’avoir des interlocuteurs de proximité !”

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Frère Lucien M.

Adhérent

“À mon âge (bientôt 90 ans) et avec une petite retraite, j’ai été soulagée, il y a 18 mois, après une sortie d’hospitalisation suite à une chute, de pouvoir bénéficier immédiatement de l’aide du contrat IMA de la Mutuelle Saint-Martin et de trouver, au retour à mon domicile, l’aide d’auxiliaires de vie. Le peu que j’ai eu à payer m’a en plus permis de toucher un crédit d’impôt bienvenu. Si vous ajoutez à cela deux mois de cotisation gratuite fin 2020, vous comprendrez que je milite auprès de mes amis et connaissances pour leur proposer d’adhérer avec nous. Merci pour tout !” Mme Cécile D.

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Mme Cécile D.

Adhérente

Mon séjour récent à la Maison du Missionnaire à Vichy s’est très bien passé. Malgré les difficultés que j’ai pour me déplacer, j’ai pu me rendre au bord de l’Allier et dans le parc des sources. L’établissement est en effet situé au cœur de la ville. Les chambres ont été refaites récemment et sont lumineuses, spacieuses et confortables. De plus, l’hébergement et la restauration ont un coût journalier modique.Je recommande vivement ce séjour !

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Séjours vacances à Vichy

Père Francis Belet - Diocèse de Montauban

François (40 ans), d’Asnières-sur-Seine, a testé la téléconsultation médicale durant la première période de confinement. Ce conseiller principal d’éducation nous explique ce qui l’a motivé à franchir le cap.

Q. Pourquoi avez-vous eu recours à la téléconsultation ?
R. En avril, je développais des symptômes se rapprochant de ceux de la Covid-19, j’ai donc voulu consulter un médecin. Hélas, mon médecin de famille, faisant partie des personnes à risque en raison de son âge, était en arrêt de travail afin d’éviter d’être contaminé. J’ai alors choisi de tenter la téléconsultation.

Q. Cette solution s’est avérée idéale pour vous à ce moment-là, pourquoi ?
R. Premièrement car la mise en relation avec un médecin s’est...

... faite très rapidement. De plus, comme il n’était pas nécessaire que le médecin soit installé dans mon quartier ou dans ma ville, je pouvais le sélectionner uniquement en fonction de sa disponibilité. Bien évidemment, la téléconsultation nécessite d’être équipé en informatique et de maîtriser un minimum ces outils, mais tout m’a paru très facile à mettre en place.

Q. Que diriez-vous à ceux qui hésitent à franchir le pas ?
R. C’est une très bonne solution si vous avez besoin d’être orienté vers un spécialiste, si vous souhaitez une ordonnance et, surtout, si vous n’avez pas la possibilité d’avoir un rendez-vous physique et que vous voulez éviter de contaminer quelqu’un ou d’être personnellement contaminé. Évidemment, il y a des limites. Par exemple, le médecin avec qui j’ai échangé à distance n’a pas pu prendre ma saturation en ligne et j’ai dû consulter un médecin par la suite. Mais cela reste une solution très pratique pour un premier avis.

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François

Adhérent

Solitaires ou solidaires en période de pandémie

COMMENT QUALIFIER CE QUI S’EST VÉCU PENDANT QUELQUES SEMAINES À L’ÉCHELLE DE LA PLANÈTE ?
Certes, tout le monde a été concerné mais tout le monde n’a pas été logé à la même enseigne… Pour ne parler que de notre pays, que de différences entre un confinement en ville ou à la campagne, en appartement ou en pavillon avec jardin, dans un espace large ou étriqué, seul ou en famille, en télétravail ou en chômage partiel… Pour nous, monastère de 29 sœurs clarisses de 96 à 32 ans, le confinement n’a peut-être pas été une grosse épreuve : nous avons déjà choisi un mode de vie particulier où l’intériorité nous élargit le cœur et l’esprit, les tournant vers le vécu de tant de frères et ...

...de sœurs sur toute la planète. Ce qui a tout de même été douloureux, ce fut l’obligation de fermer la chapelle et la maison d’accueil et de ne plus pouvoir ouvrir à nos amis ce qui est le cœur de notre vie et que nous aimons tant partager : la prière et la liturgie.

ALORS, QU’AVONS-NOUS VÉCU ?
Dès le début, bien qu’en tâtonnant un peu pour com- prendre comment concrétiser les diverses consignes reçues de partout, nous avons essayé de mettre en place la « distanciation », facilitée par l’obligation de fermer chapelle et maison d’accueil, nous ne manquions donc pas d’espace ! Les mesures d’hygiène habituelles ont grimpé d’un cran avec l’adoption de quelques normes communes : eau de javel, gel hydro-alcoolique, alcool ménager ont fleuri un peu partout dans la maison, accompagnant la désinfection quotidienne des interrupteurs, rampes, télé- phones, ordinateurs et poignées (de portes, de fenêtres, de radiateurs, de placards : c’est fou le nombre de poignées en tout genre qui existent !). Tous les arrivages (courses, livraisons et quelques dons en nature qui ont pu arriver jusqu’à nous) ont connu une « quarantaine de déconfinement » ; nous avons même organisé un protocole pour le cas où l’une de nous serait atteinte, etc… Finalement, jusqu’à présent, aucune sœur n’est tombée malade !!! Mais tous ces préparatifs nous ont mis en communion profonde et constante avec ceux dont nous recevions régulièrement des nouvelles. Le tableau des intentions de prière est toujours rempli mais, en ces semaines, le virus y a occupé une grande place. L’hôpital est proche à vol d’oiseau, impossible de ne pas le voir quand on lève le nez en direction de la ville et, fréquemment, résonnaient autour de nous la sirène des ambulances et le vrombissement de l’hélicoptère du SAMU. Ils étaient donc tous très présents dans notre prière : les soignants et tous ceux qui travaillaient pour que la vie continue livreurs, boulangers, postiers, vendeurs et tant d’autres), les familles dans un deuil d’autant plus difficile qu’éloigné, les pays où les moyens sanitaires sont défectueux ou inexistants, les malades et les mourants dont les noms s’affichaient jour après jour. Nous savions aussi que pour les personnes en grande précarité, le confinement multipliait les difficultés de survie et que les femmes ou enfants maltraités dans leurs foyers étaient encore plus en danger.

L’hôpital de Reims ayant manqué de sur-blouses, nous avons été très vite sollicitées pour en confectionner ; nous avons aussi fait des masques ; un prêtre de notre diocèse, ancien infirmier, s’est proposé comme aide-soignant dans un EHPAD de la région ; que de gens ont cherché comment aider, comment mettre leur petit « grain de sel » dans l’effort collectif… Cela a provoqué notre admiration et notre action de grâce.

Nous avons un grand et beau jardin, il nous a permis de continuer à nous aérer et de profiter du temps superbe qui a souvent régné sur cette période, baignées dans un grand silence où le chant des oiseaux résonnait plus que de coutume. Peut-être avons-nous pris plus largement conscience de l’urgence des changements à effectuer pour notre monde ? Comment ne pas songer à l’encyclique Laudato si ? Avec saint François d’Assise, nous continuons de chanter : « Loué sois-tu mon Seigneur, pour sœur notre mère la terre qui nous porte et nous nourrit, qui produit la diversité des fruits, avec les fleurs diaprées et les herbes… »

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Sœur Alice-Anne Bruetschy

Monastère des Clarisses à Cormontreuil

« Le projet éducatif d’Albert de Mun est le garant de l’unité de l’établissement, de la communauté qui la constitue et de sa mission d’enseignement et d’éducation. Il est développé en trois axes : la formation spirituelle, la formation intellectuelle et la formation humaine. Nos chefs d’établissements sont très sensibles à l’épanouissement spirituel et intellectuel des jeunes, c’est une véritable mission. La pastorale est très active avec deux adjointes et 15 animatrices.

Nous étions adhérents de la Mutuelle Servir (pour la mutuelle et la prévoyance) et j’étais moi- même administrateur de cette Mutuelle. Le choix avait été fait pour des raisons de taille, de services et de proximité avec les interlocuteurs.

Quand en 2015, il nous a ...

...été demandé de rejoindre des mutuelles recommandées, nous avons refusé et sommes restés à la Mutuelle Servir. Quand la Mutuelle Servir et la Mutuelle Saint-Martin se sont regroupées, nous avons naturellement suivi.

Si les premiers mois ont été un peu « difficiles », la Mutuelle Saint-Martin a vite mis les ressources nécessaires et les gestionnaires dédiés. Nous avons ainsi retrouvé la proximité et la disponibilité d’avant, grâce notamment à Monsieur Alain Fauquet.

Si j’avais à conseiller la Mutuelle Saint-Martin à d’autres établissements, je leur dirais que la dimension spirituelle est importante et que, contrairement aux grands groupes d’assurances ou mutualistes très impersonnels, nous avons ici de la proximité, du dialogue et des services. Et l’ensemble des personnels semble satisfait car je n’ai pas de remontées de gens qui se plaignent… !

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Virginie Arnaud

Responsable Comptable et RH au sein d'un établissement adhérent à la Mutuelle Saint-Martin

Confinement et déconfinement au monastère de l’Annonciade de Thiais

COMMENT L’ÉPIDÉMIE NOUS A TOUCHÉES ?
Dans la vie monastique, le confinement n’est pas un problème en soi. Nous vivons une vie communautaire, dans un « ensemble » de tous les instants: pour les temps de prière comme celui du travail. Donc, hormis l’impossibilité de sortir, notre vie de confinement fut la même. Jusqu’au moment où il devint un événement sanitaire majeur ! L’épidémie de Covid-19 a touché pratiquement les deux tiers de notre communauté dont deux cas majeurs. 20 sœurs sur 33 ont été en isolement intégral durant trois semaines et demie. 4 parmi elles n’étaient pas atteintes mais présentaient des facteurs à risque. Il fallut donc assurer la veille sanitair...

...e (plusieurs ont été sous oxygène) pour évaluer l’évolution de la maladie et prendre les mesures qui s’imposaient d’une part, et assurer l’intendance, d’autre part, pour les repas trois fois par jour et autres services. Heureusement, les « malades » étaient installées dans la partie de l’accueil remise aux normes et ont pu ainsi bénéficier d’un certain confort qui allégeait la tâche de celles qui assuraient les va-et-vient entre d’un bout à l’autre de la maison et qui ont bénéficié de l’ascenseur. Le thème de notre synode diocésain « prendre soin les uns des autres » avait tout son sens. Et ce fut le confinement.

COMMENT AVONS-NOUS VÉCU LE DÉCONFINEMENT ?
Il a été vécu en deux étapes. Un pré-déconfinement pour les sœurs sorties de leur isolement absolu qui retrouvaient la communauté et leurs marques habituelles. Ce fut un moment de grande fraternité. Chacune prenant la mesure des liens qui furent resserrés par ce grand moment d’entraide et de détachement. Nous avons retrouvé la vie de prière commune, avec nos masques, les activités et les services. Sur le plan fraternel, ce fut un intense partage de joie et de reconnaissance. La prise de conscience que nous formions un corps dans le Christ, dans la charité et l’affection. Lorsqu’arriva le déconfinement officiel, nous avions une longueur d’avance.

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Sœur Marie-Pascale

Monastère de l’Annonciade de Thiais
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